Sept hivers à Téhéran

Sept hivers à Téhéran

de Steffi Niederzoll

Avec
Zar Amir Ebrahimi
Reyhaneh Jabbari
Shole Pakravan

Genre : Documentaire

Nationalité : Allemagne

Année de sortie : 2023

Durée : 01h37

Version : Couleur

Public : Tout public

2007, à Téhéran. Reyhaneh Jabbari, 19 ans, poignarde l’homme sur le point de la violer. Suite à de faux aveux extorqués, elle est accusée de meurtre et condamnée à mort. À partir d’images filmées clandestinement, Sept hivers à Téhéran montre le combat de la famille pour tenter de sauver Reyhaneh, devenue symbole de la lutte pour les droits des femmes en Iran.

Sept hivers à Téhéran a reçu le Prix Compass – Perspektive du Meilleur film et celui du Film pour la paix à la 73ème Berlinale. Intense et percutant.

Retrouvez des ouvrages sur des thématiques similaires au film ci-dessus, dans votre bibliothèque des cinémas Studio.

  •  Histoire du cinéma iranien : 1900-1999

Auteur : Mamad Haghighat, édité par Centre George Pompidou - 1999, à la cote 791.439.55 HAG

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Bande annonce

Les séances : Vous pouvez Acheter vos places en ligne

Ce film a été programmé aux cinémas Studio

  • Semaine du Mercredi 29 Mars 2023 au Mardi 4 Avril 2023
  • Semaine du Mercredi 5 Avril 2023 au Mardi 11 Avril 2023

Définition des pictos :


  • Séance 3D
  • Ciné Relax
  • Version française
  • V.O + Sous-titrage (FR)
  • Sans Paroles
  • Audio description

Votre avis

    Commentaire de Thierry FOULLON |

    Dans un pays où les femmes sont considérées comme des menteuses , manipulées par Satan...où la justice est celle des hommes, la pauvre Reyhaneh est condamnée avant d'avoir été jugée , malgré des soutiens populaires et internationaux. Tous les personnages sont réels , hélas.

    Commentaire de Jacques Chenu |

    7 hivers à Téhéran m'a beaucoup impressionné. Cette histoire vraie est glaçante, effrayante. Constitué d’images clandestines et de témoignages, le film expose l’aveuglement de la justice aux ordres du pouvoir religieux. Les femmes sont broyées, elles n’ont pas de droits, elles doivent rester invisibles et se soumettre. Le conseil d’un policier dans le film dit tout: « il est préférable de subir le viol et de porter plainte ensuite »… Que dire de plus ? Vade retro satanas… N’est pas Satan celui qu’on croit !

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