Priscilla
de Sofia Coppola
Genre : ,Drame
Nationalité : U.S.A
Année de sortie : 2023
Durée : 01h53
Version : Couleur
Public : Tout public
Adolescente solitaire, Priscilla a 14 ans quand elle rencontre le magnétique Elvis pour la première fois. Lui, à 24 ans, est déjà une star mondiale. De leur idylle secrète à leur mariage iconique, Priscilla vit un conte de fée dans un environnement hors-norme en pleine révolution rock des années 60... avant de se réveiller pour prendre sa vie en main.
La cinéaste de Lost of Translation (2003) dresse un portrait tout en délicatesse de Priscilla Presley, superbement incarnée par C. Spaeny, qui a d’ailleurs reçu le Prix de la meilleure actrice à la Mostra de Venise pour son rôle.
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- Rock et ciné
Auteur : Eduardo Guillot, édité par La Mascara - 2000, à la cote 791.435 GUI
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Bande annonce
Les séances : Vous pouvez Acheter vos places en ligne
Ce film a été programmé aux cinémas Studio
- Semaine du Mercredi 3 Janvier 2024 au Mardi 9 Janvier 2024
- Semaine du Mercredi 10 Janvier 2024 au Mardi 16 Janvier 2024
- Semaine du Mercredi 17 Janvier 2024 au Mardi 23 Janvier 2024
- Semaine du Mercredi 24 Janvier 2024 au Mardi 30 Janvier 2024
Définition des pictos :
- Séance 3D
- Ciné Relax
- Version française
- V.O + Sous-titrage (FR)
- Sans Paroles
- Audio description
Votre avis
Commentaire de Patrick GIRAULT |
Film d'une exceptionnelle qualité, probablement le meilleur de Sofia Coppola. Il est tout aussi bon que le film "Elvis" de Baz Luhrmann, sorti en 2022. Très différent, mais tout à fait complémentaire.
La jeune actrice Cailee Spaeny est excellente en Priscilla Baulieu Presley. Son Lion d'Or à Venise de la meilleure actrice est tout à fait mérité. Et le comédien Jacob Elordi, en Elvis Presley, ressemble presque davantage au King que Austin Butler. Mais dans ce film, il n'a pas besoin de chanter, ni de danser.
Contrairement au film "Elvis", Sofia Copola n'a pas pris quelques libertés avec la réalité : tout est exact et correct (autobiographie de Priscilla Presley - tempérament du King...).
Malheureusement, il n'y a aucune chanson de l'Artiste du siècle, les droits ayant été refusés, mais ce n'est pas, non plus, le sujet du film.
Au niveau des décors, tout est ressemblant, ayant visité Graceland, Memphis..., en 2017 avec l'association française Elvis my Happiness.
Commentaire de bruno delarue |
Comment peut on aimer ce film ?
Tour d’abord la projection du film au Studio est catastrophique et ce n’est pas la première fois que je le dis. Soit le technicien ne s’est pas se servir de son matériel : les « noirs » ne sont pas collés, la luminosité n’est pas positivée, et probablement que la mire de barre avant chaque film n’est pas exploitée comme il se doit en fonction de la réalisation, ou bien le matériel est obsolète ?
Si Sofia Copolla a voulu réaliser un film plutôt en demi-teinte, je ne peux pas croire que la réalisatrice de « Virgin Suicid, de Lost in Translation, ou Marie-Antoinette » (où l’image était magnifique) ait laissé toutes des séquences totalement dans le noir et où l’on ne peut apercevoir les comédiens ! Certains plans sont en contre-jour tellement excessif que l’on ne distingue rien. Pour avoir vu les bandes annonces dans d’autres salles de cinéma, c’est le jour et la nuit si j’ose dire.
En ce qui concerne le film en lui même ; C’est un film voulant dénoncer la vie d’une femme, groupie de Elvis en 1950, qui se laisse manipuler par son idole et qui est en est tellement malheureuse qu’elle le quittera quelques années plus tard, sans spolier le film, puisque tout le monde connaît la fin. Les comédiens ne sont absolument pas crédibles, ils jouent tellement mal qu’on en est malheureux. Aucun charisme ni charme. Tout est superflu, caricatural, et on ne parvient pas à s’attacher au soi-disant combat de cette femme délaissée par son mari, qui ne l’oublions pas est une star idolâtrée. Les dialogues (et ils sont rares) sont convenus et tellement idiots. Certaines séquences tellement répétitives que l’on s’ennuie ferme. Et puis produire un film sur ce couple, sans une seule musique et chanson d’Elvis... Quelle gageure !
Ce pauvre Elvis est pitoyable et n’est en aucun cas la véritable histoire de Presley. Tout est réducteur, même les décors, on a envie de sortir de cet environnement des 3 voitures louées pour l’occasion, et des petites babioles des années 50. Les musiciens copains qui entourent Elvis à Graceland sont ridicules et n’incarnent pas les talents reconnus de l’époque. La séquence en contre jour reconstituée du « Las Végas show » est totalement ratée et on n’y croit pas une seconde. On peut imaginer que Sofia ait voulu faire de ce film un combat féministe à la base d’un livre haineux et revanchard. C’est totalement raté. N’oublions pas que la fille de Elvis et Priscilla, Lisa, avant son décès, s’était offusquée à la lecture du scénario d’un futur film méprisant à l’égard de son père.
Faites des économies, n’allez pas le voir !
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