Les Graines du figuier sauvage

Les Graines du figuier sauvage

de Mohammad Rasoulof

Avec
Misagh Zare
Soheila Golestani
Mahsa Rostami

Genre : Drame

Nationalité : Iran

Année de sortie : 2024

Durée : 02h46

Version : Couleur

Public : Tout public

Iman est juge d'instruction dans un tribunal révolutionnaire. Lorsque la rue s'embrase il a beau voir l'inanité des dossiers qu'il doit traiter, il va continuer à se comporter en bon petit soldat. Sauf que, chez lui, ses deux filles ont pris fait et cause pour la rébellion. Son épouse fait ce qu'elle peut pour maintenir le calme domestique mais la disparition de son arme de service va l'amener à soupçonner tout le monde.

Multi-primé, le dernier film de M. Rasoulof avant qu'il ne fuie l'Iran.

Festival Télérama du 22 au 28 janvier

Bande annonce

Les séances : Vous pouvez Acheter vos places en ligne

Ce film a été programmé aux cinémas Studio

  • Semaine du Mercredi 18 Septembre 2024 au Mardi 24 Septembre 2024
  • Semaine du Mercredi 25 Septembre 2024 au Mardi 1 Octobre 2024
  • Semaine du Mercredi 2 Octobre 2024 au Mardi 8 Octobre 2024
  • Semaine du Mercredi 9 Octobre 2024 au Mardi 15 Octobre 2024
  • Semaine du Mercredi 16 Octobre 2024 au Mardi 22 Octobre 2024
  • Semaine du Mercredi 23 Octobre 2024 au Mardi 29 Octobre 2024
  • Semaine du Mercredi 30 Octobre 2024 au Mardi 5 Novembre 2024
  • Semaine du Mercredi 6 Novembre 2024 au Mardi 12 Novembre 2024
  • Semaine du Mercredi 22 Janvier 2025 au Mardi 28 Janvier 2025

Définition des pictos :


  • Séance 3D
  • Ciné Relax
  • Version française
  • V.O + Sous-titrage (FR)
  • Sans Paroles
  • Audio description

Votre avis

    Commentaire de Hervé RIGAULT |

    On ne peut d’abord qu’être impressionné par la qualité du travail réalisé par tous les courageux collaborateurs de Rasoulof qui ont permis que ce film, éloge du refus de la soumission, existe.
    Que vivent les graines ! (Et n’oublions pas de cultiver les nôtres).
    J’ai surtout apprécié la partie du film qui se déroule à Téhéran, l’atmosphère oppressante qui monte dans le huis clos familial sur fond d’images vidéos rendant compte de la répression policière ultra violente des manifestations dans la rue.
    J’ai par contre un peu décroché dans la dernière partie, pourtant très bien faite, avec l’impression d’une issue trop semblable à celle de « Shining ». Le spectacle m’y a semblé prendre le pas sur l’analyse et la réflexion.

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