LE FRONT POPULAIRE : QU'EN RESTE T'IL ?
de Pauline Toureh, Alain Lavalle
Genre : Documentaire
Nationalité : France
Année de sortie : 2006
Durée : 00h53
Version : Couleur
Public : Tout public
La LDH , Convergence Services Publics 37 et le CNP proposent:
LE FRONT POPULAIRE : QU'EN RESTE T'IL ?
Le Front Populaire, épisode emblématique résultant d'une longue action des forces culturelles, sociales et économiques de gauche, représente une expérience politique originale. Il constitue un moment charnière de l'histoire ouvrière.
L'instauration de réformes qui bouleversent l'organisation du travail et du temps libre reste un moment fort de l'histoire des luttes sociales.
L'embellie fut brève, mais sa portée politique, sociale et symbolique lui donnera une place à part dans la mémoire collective.
Cette gauche de 36 faisait rêver, qu'en est-il aujourd'hui?
A la suite de la projection du film 1936: mes premières vacances de Pauline Toureh et Alain Lavalle (2006 – France - 53' ) un débat aura lieu en présence d'un intervenant spécialisé.
Les séances : Vous pouvez Acheter vos places en ligne
Ce film a été programmé aux cinémas Studio
- Semaine du Mercredi 30 Novembre 2016 au Mardi 6 Décembre 2016
Définition des pictos :
- Séance 3D
- Ciné Relax
- Version française
- V.O + Sous-titrage (FR)
- Sans Paroles
- Audio description
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Commentaire de Hervé RIGAULT |
Objectivement, du Front Populaire, il reste quelques conquêtes, notamment les conventions collectives (mises à mal par la loi anti travail) et bien sûr les congés payés.
C’est ce deuxième point qu’abordait le documentaire de Pauline Toureh et Alain Lavalle, mais sous un aspect subjectif avec souvenirs d’enfance portant sur ces premières vacances, le train, la mer … Bonne idée d’y avoir associé les souvenirs des enfants autochtones confronté à l’arrivée en masse de ces baigneurs, dans les stations de la mer du Nord, jusque là habitués à regarder une minorité de privilégiés venant s’y tremper les pieds. Par contre, on se serait bien passé des reconstitutions des scènes d’époque. De même les commentaires de Pierre Mauroy et Gilles Martinet semblaient résulter de choix partisans un peu trop marqués.
Il est également dommage que le débat, dans la salle, n’est pas porté sur ce que sont devenus les pratiques de congés payés aujourd’hui, entre exclusion de 40 % de la population et mercantilisation à outrance.
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