Entre un petit moineau qui apprend que la curiosité est un vilain défaut (mais que parfois aussi elle peut être bonne conseillère), un jeune corbeau qui pense être le plus fort des animaux (jusqu’au jour où il voit son reflet dans les eaux d’un lac) et un autre corbeau qui a la mauvaise habitude de voler tout ce qui brille (et même le diamant de la couronne), il y a de l’animation chez les oiseaux !

Le Moineau et la graine de cotonnier a été réalisé avec des morceaux de tissu et de bois, comme pour Shangoul et Mangoul dans Les Contes de la mère poule. Pour Le Corbeau qui voulait être le plus fort, M. A. Soleymanzadeh a utilisé des dessins sur cellulos, tandis que pour Un jour, un Corbeau, le réalisateur a travaillé avec des marionnettes.

Ces trois histoires sont des adaptations de vieilles légendes iraniennes.