L'Amour est une fête

L'Amour est une fête

de Cédric Anger

Avec
Guillaume Canet
Gilles Lellouche
Camille Razat
Elisa Bachir Bey
Xavier Beauvois

Genre : Comédie

Nationalité : France

Année de sortie : 2018

Durée : 01h59

Version : Couleur

Public : Tout public

1982. Le Mirodrome est un peep show parisien. Ses patrons, Franck et Serge, criblés de dettes, projettent alors de produire des films pornographiques avec leurs danseuses pour relancer leur établissement. Ils commencent par tourner des loops, petits films destinés aux cabines. Le succès est tel qu’il attire l’attention de leurs concurrents et un soir, des hommes cagoulés viennent détruire le Mirodrome. Ruinés, les deux compères se retrouvent contraints à négocier avec leurs rivaux. Mais Franck et Serge ignorent que ces derniers sont des enquêteurs chargés de préparer un coup de filet dans le business du « X » parisien… Une aventure qui pourrait les entraîner très loin !

Après le remarquable La Prochaine fois, je viserai le cœur (2014), Cédric Anger retrouve Guillaume Canet pour nous plonger dans le cinéma porno du début des années quatre-vingts.

Les séances : Vous pouvez Acheter vos places en ligne

Ce film a été programmé aux cinémas Studio

  • Semaine du Mercredi 19 Septembre 2018 au Mardi 25 Septembre 2018
  • Semaine du Mercredi 26 Septembre 2018 au Mardi 2 Octobre 2018
  • Semaine du Mercredi 3 Octobre 2018 au Mardi 9 Octobre 2018
  • Semaine du Mercredi 10 Octobre 2018 au Mardi 16 Octobre 2018

Définition des pictos :


  • Séance 3D
  • Ciné Relax
  • Version française
  • V.O + Sous-titrage (FR)
  • Sans Paroles
  • Audio description

Votre avis

    Commentaire de Jacques Chenu |

    Une bonne interprétation d’ensemble, pas mal d’humour, mais aussi beaucoup de complaisance dans ce film de Cédric Anger qui navigue à vue entre comédie, enquête policière et documentaire sur le porno des années 80. Ce qui m’a le plus ennuyé dans cette histoire, c’est l’atmosphère bon enfant qui règne dans ce milieu de la sexploitation des femmes. Elles sont souriantes, heureuses, épanouies, et elles semblent prendre beaucoup de plaisir dans leur activité professionnelle. Dans la vie réelle, chacun sait que la vie de ces dames est malheureusement loin d’être aussi rose. La pirouette finale vient encore renforcer ce propos plus que discutable dans lequel en fait, on donne raison aux fraudeurs et exploiteurs de tout poil.
    J’aurais volontiers adhéré à l’idée d’une comédie sur ce thème si on ne s’était pas contenté de rire de l’ignorance et de la stupidité des protagonistes.

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