La Nuit du verre d’eau

La Nuit du verre d’eau

de Carlos Chahine

Avec
Marilyne Naaman
Antoine Merheb Harb
Nathalie Baye

Genre : Drame,

Nationalité : France

Année de sortie : 2023

Durée : 01h23

Version : Couleur

Public : Tout public

Eté 1958. Trois sœurs de la bourgeoisie chrétienne sont en villégiature dans la montagne libanaise. Mais la vie tranquille de la vallée est bousculée par les échos d’une révolution grondant à Beyrouth et par l’arrivée d’estivants français. Ouvrant les yeux sur la société patriarcale, l’aînée s’interroge : une femme peut-elle avoir un autre destin que celui tracé par les hommes ?

Pour son 1er long métrage, C. Chahine plonge dans l'histoire de son Liban natal et y  interroge les racines profondes d'un monde multiconfessionnel qui n'allait pas tarder à se déchirer dans une sanglante guerre civile.

Retrouvez des ouvrages sur des thématiques similaires au film ci-dessus, dans votre bibliothèque des cinémas Studio.

  •  Le Quartier de Sanayeh à Beyrouth : une exploration filmique

Auteur : Pascale Féghali, édité par IFPO - 2009, à la cote 791.439.55 FEG

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Bande annonce

Les séances : Vous pouvez Acheter vos places en ligne

Ce film a été programmé aux cinémas Studio

  • Semaine du Mercredi 14 Juin 2023 au Mardi 20 Juin 2023
  • Semaine du Mercredi 21 Juin 2023 au Mardi 27 Juin 2023

Définition des pictos :


  • Séance 3D
  • Ciné Relax
  • Version française
  • V.O + Sous-titrage (FR)
  • Sans Paroles
  • Audio description

Votre avis

    Commentaire de Hervé RIGAULT |

    Un film très sensible , bien situé et bien daté .
    Layla et ses sœurs se trouvent à l’intersection des tensions qui travaillent le Liban en 1958 (montée du nationalisme arabe, intervention américaine, conflits inter confessionnels, persistance de l’influence française ...) et de la lourde domination patriarcale traditionnelle (ce n’est visiblement pas une exclusivité des musulmans) que cette situation exacerbe. Y échapper se paie au prix fort, même quand on appartient à la classe dominante du pays.
    Depuis, on le sait, les choses n’ont fait qu’empirer.

    Commentaire de Jacques Chenu |

    Très beau film, juste et sensible. J’ai été transporté dans les montagnes libanaises en 1958, auprès de ces femmes qui étouffent et qui aspirent à l’émancipation et à la liberté. Elles subissent, elles doutent, rêvent, se posent des questions. Quant aux hommes, aveugles, ils sont enfermés dans les certitudes de leurs traditions. La politique, les conflits religieux, les inégalités, tout affleure et imprègne la vie de ces habitants d’un village reculé. C’est magnifique et passionnant.

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