Un ingénieur parisien se rend dans les Alpes pour son travail. Irrésistiblement attiré, il s’installe un bivouac en altitude et décide de ne plus redescendre. Là-haut il fait la rencontre de Léa et découvre de mystérieuses lueurs.

Le réalisateur du stupéfiant Vincent n’a pas d’écailles (2014) parvient à stimuler nos imaginaires tout en tendant à l’époque un miroir sans concession. Comme Miyazaki, il part de préoccupations écologiques (la fonte des glaciers) pour convoquer un fantastique qui distancie la simple évocation du réel et semble touché par la grâce.