La femme au tableau - Woman in Gold
de Simon Curtis
Avec
Helen Mirren,
Ryan Reynolds,
Daniel Brühl,
Katie Holmes,
Max Irons
Genre : Drame
Nationalité : Grande-Bretagne
Année de sortie : 2015
Durée : 01h50
Version : Couleur
Public : Tout public
La Femme au tableau est inspiré d'une histoire vraie, celle de Maria Altmann, une juive rescapée de la shoah. Elle souhaite récupérer les tableaux de Klimt, notamment celui d'un portrait doré de sa tante Adèle, que sa famille possédait avant la guerre. D’abord sceptique, le jeune avocat auquel elle confie cette mission, se laisse peu à peu convaincre par cette attachante septuagénaire un peu excentrique qui lui raconte sa jeunesse tourmentée, l’invasion nazie, la spoliation et sa fuite aux États-Unis… Réussiront-ils à prendre leur revanche sur l’histoire ?
Les séances : Vous pouvez Acheter vos places en ligne
Ce film a été programmé aux cinémas Studio
- Semaine du Mercredi 15 Juillet 2015 au Mardi 21 Juillet 2015
- Semaine du Mercredi 22 Juillet 2015 au Mardi 28 Juillet 2015
- Semaine du Mercredi 29 Juillet 2015 au Mardi 4 Août 2015
- Semaine du Mercredi 5 Août 2015 au Mardi 11 Août 2015
Définition des pictos :
- Séance 3D
- Ciné Relax
- Version française
- V.O + Sous-titrage (FR)
- Sans Paroles
- Audio description
Votre avis
Commentaire de CP |
Grâce à des interprétations impeccables des premiers rôles, séduisantes et efficaces dans les rôles secondaires, ce film fonctionne.
On se laisse même émouvoir par l'aspect mélodramatique.
C'est une intéressante page d'Histoire qui est évoquée dans ce procés, et toujours d'actualité, puisque les biens culturels dérobés par les nazis aux familles juives ne sont pas intégralement restitués aujourd'hui.
Commentaire de Jacques Chenu |
Au début, tout va bien, on a une bonne histoire, avec un récit qui passe des années 30 aux années 90, de l’Autriche d’avant-guerre à la Californie d’avant internet, avec de grandes familles riches et des amateurs d’art, de peinture et de musique. Helen Mirren est évidemment parfaite, contrairement à son fade partenaire masculin.
Mais très vite, je me suis senti mal à l’aise, un peu écœuré, dans cette pâtisserie américano-autrichienne, il y a trop de beurre, de crème, de sucre… On est dans un film britannique, et pourtant on voit clairement les rouages bien huilés d’une mécanique hollywoodienne, pleine de bons sentiments et toute à la gloire de l’Amérique et de ses valeurs. Le plus dur à avaler (serais-je un peu lourd moi aussi avec ma métaphore ?), c’est de voir un avocat héros, noble défenseur désintéressé des justes causes désespérées, seul contre tous, et qui finit par gagner bien sûr. Alléluia !
Lire | Envoyer
Ajouter une critique
Pour donner votre avis, veuillez vous connecter :
Mot de passe oublié
Je souhaite créer un compte
Création du compte