La Famille Asada
de R. Nakano
Genre : Drame
Nationalité : Japon
Année de sortie : 2020
Durée : 02h07
Version : Couleur
Public : Tout public
Dès l'âge de 12 ans, Masashi Asada se consacre à la photographie. Il met en scène toute sa famille qui se déguise en pompiers, escrocs, pilotes de Formule 1 ... Ce qui donne lieu à des scènes réjouissantes. En 2011, après le tsunami, Masashi découvre que les photos ont aussi une fonction mémorielle.
Une grande réussite !
Retrouvez des ouvrages sur des thématiques similaires au film ci-dessus, dans votre bibliothèque des cinémas Studio.
- Des vies de rêve : histoire d’une famille
Auteur : Michael Korda, édité par R. Laffont - 1981, à la cote M 791.439.42 KOR
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Bande annonce
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Ce film a été programmé aux cinémas Studio
- Semaine du Mercredi 30 Mars 2022 au Mardi 5 Avril 2022
- Semaine du Mercredi 25 Janvier 2023 au Mardi 31 Janvier 2023
- Semaine du Mercredi 1 Février 2023 au Mardi 7 Février 2023
- Semaine du Mercredi 8 Février 2023 au Mardi 14 Février 2023
- Semaine du Mercredi 15 Février 2023 au Mardi 21 Février 2023
- Semaine du Mercredi 22 Février 2023 au Mardi 28 Février 2023
- Semaine du Mercredi 1 Mars 2023 au Mardi 7 Mars 2023
- Semaine du Mercredi 8 Mars 2023 au Mardi 14 Mars 2023
Définition des pictos :
- Séance 3D
- Ciné Relax
- Version française
- V.O + Sous-titrage (FR)
- Sans Paroles
- Audio description
Votre avis
Commentaire de Hervé RIGAULT |
Avec la famille Asada, c’est une nouvelle variante autour de la thématique de la famille japonaise qui nous est donnée à voir. Cette fois ci, on navigue, plutôt avec bonheur, entre la mise en scène de l’auto dérision et le pathos. Le rebondissement final est tout à fait jubilatoire.
Mais il ne faut pas oublier non plus la place que prend la photographie dans le film. Comme représentation de la réalité , comme pratique et comme vocation. D’une certaine façon, La famille Asada, est aussi un hommage à un genre plutôt dénigré qu’est la photo de famille traditionnelle. Il faut une catastrophe pour qu’on se rappelle de sa signification. C’est aussi un hommage posthume à ce genre photographique aujourd’hui en voie de disparition, du fait de la domination de la photo numérique via le téléphone portable. Après le prochain tsunami, il n’y aura plus de trace des visages des disparus.
Commentaire de Jacques Chenu |
Il y a deux parties dans ce film inspiré d’une histoire vraie, la première est une chronique familiale plutôt plaisante et agréable à regarder, mais pas vraiment passionnante. La mère est sérieuse et aimante, le père fantasque, le grand frère désabusé et agacé par le comportement égoïste de son petit frère.
La seconde partie sur la catastrophe de Fukushima, est en revanche plus profonde et touchante. Il y a beaucoup d’humanité et de compassion dans le regard du photographe sur les victimes du tsunami. Les gens errent parmi les décombres, somnambules anéantis, désespérés, Masashi essaie d’aider, de soulager la détresse des gens, sans voyeurisme.
Commentaire de Hervé RIGAULT |
Pour ma part Jacques , je ne dirais pas que la maman est sérieuse, elle n’est sérieuse qu’en apparence, à l’occasion des mises en scène saugrenues orchestrées par son jeune fils, elle n’est pas la dernière à se lâcher, ce qui peut surprendre au regard de ce qu’on croit connaître de la culture japonaise.
Par contre, d’accord avec toi pour souligner l’ambivalence des sentiments du frère aîné, plus conformiste ou plus raisonnable, qui joue le jeu de son cadet mais à son corps défendant. Nakano semble d’ailleurs lui avoir donné le mandat de commenter cette histoire en voix off. Cependant au cours du film, Nakano semble curieusement lui avoir retiré ce privilège. Peut être, parce que, comme tu le dis il y a deux films dans le film ?
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