Empire of light

Empire of light

de Sam Mendes

Avec
Olivia Colman
Micheal Ward
Tom Brooke

Genre :

Nationalité : Grande-Bretagne

Année de sortie : 2023

Durée : 01h59

Version : Couleur

Public : Tout public

Angleterre, 1980. Hilary, femme d’âge mûr responsable d’un cinéma dans une ville balnéaire, tente de préserver sa santé fragile. Stephen est un jeune homme charismatique qui n’aspire qu’à s’éloigner de cette petite ville de province où chaque jour peut vite être synonyme d’épreuve. Nouvellement employé dans le cinéma, Hilary lui apprend les rudiments du métier. Dans ce rapprochement, Stephen et Hilary vont soigner leurs blessures grâce à la musique, au cinéma…

Après le très impressionnant 1917 (2019), Sam Mendes réunit autour de Olivia Colman une distribution talentueuse. Empire of light, oscarisé pour sa photographie, est un bel hommage au cinéma.

 

Retrouvez des ouvrages sur des thématiques similaires au film ci-dessus, dans votre bibliothèque des cinémas Studio.

  •  American Beauty

Auteur : Alan Ball, édité par Film Four Books - 2000, à la cote 791.434.3 BAL

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Bande annonce

Les séances : Vous pouvez Acheter vos places en ligne

Ce film a été programmé aux cinémas Studio

  • Semaine du Mercredi 1 Mars 2023 au Mardi 7 Mars 2023
  • Semaine du Mercredi 8 Mars 2023 au Mardi 14 Mars 2023
  • Semaine du Mercredi 15 Mars 2023 au Mardi 21 Mars 2023
  • Semaine du Mercredi 22 Mars 2023 au Mardi 28 Mars 2023
  • Semaine du Mercredi 29 Mars 2023 au Mardi 4 Avril 2023

Définition des pictos :


  • Séance 3D
  • Ciné Relax
  • Version française
  • V.O + Sous-titrage (FR)
  • Sans Paroles
  • Audio description

Votre avis

    Commentaire de Jacques Chenu |

    Formidable ! J’ai été captivé de bout en bout par cette histoire de cinéma. Après Hollywood chez Chazelle et la naissance d’une vocation chez Spielberg, cette fois la salle de cinéma et ses employés sont au centre de cette intrigue particulièrement riche. Nous sommes en 1981, au début de la sombre période thatchérienne, le racisme, la violence et les skinheads imprègnent la société.
    La salle reste cependant au cœur de l’histoire, entre faste et décrépitude, la magnificence et les ors sont encore visibles, mais l’édifice se fissure à l’image de la société anglaise de l’époque.
    Hilary est sensible, amoureuse de la poésie, mais elle est bipolaire, abusée et désabusée. Quant à Micheal Ward, il incarne avec justesse un jeune homme sur le fil, à la fois ouvert et curieux, plein d’espoir, mais aussi déçu et fatigué des insultes.
    Colin Firth en salaud médiocre et Toby Jones en projectionniste passionné, forment avec les autres employés du cinéma une très belle galerie de personnages secondaires.
    Un dernier mot sur le titre, très bien choisi, d’autant plus que les décors du cinéma et la petite station balnéaire anglaise baignent dans une très belle lumière, souvent crépusculaire.

    Commentaire de Hervé RIGAULT |

    1981, l’empire britannique a perdu ses colonies et Margaret Thatcher est au pouvoir.
    1981, à Margate le prestigieux Empire a fermé une partie de ses salles et le National Front parade sur le front de mer.
    Empire of light , c’est ça, mais c’est aussi beaucoup plus que ça. C’est l’histoire douloureuse et tourmentée d’Hilary, mais pas que. C’est l’histoire de Stephen (à la fois lumineux et fataliste) et Hilary, mais pas que, c’est la danse et la poésie, mais pas que, c’est histoire du déclin de la salle, mais pas que … Empire of light, c’est un peu comme La vie mode d’emploi de Pérec, des scènes de toutes sortes qui viennent tout à tour animer le hall, la salle , la cabine du projectionniste, le bureau du directeur, le vestiaire, les salles fantomatiques à l’étage.. . Le vrai sujet du film c’est la vie, « un état d’esprit » (ça peut se discuter) comme il est dit dans la dernière réplique de Good bye Mr Chance, que Norman, le fou de lumière, projette pour Hilary toute seule dans la salle.

    Commentaire de Thierry FOULLON |

    Olivia Colman est sublime, à la fois tourmentée et d'une sensibilité extraordinaire. Sur fond de racisme et de crise sociale durant la période Thatcher : ce sont les noirs et les étrangers qui prennent "nos" emplois...toujours les mêmes arguments ! Un des meilleurs films du moment

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