Deux pianos

Deux pianos

de Arnaud Desplechin

Avec
François Civil
Nadia Tereszkiewicz
Charlotte Rampling

Genre : Drame

Nationalité : France

Année de sortie : 2025

Durée : 01h55

Version : Couleur

Public : Tout public

Après un long exil, le pianiste Mathias Vogler rentre en France. Elena qui fut son guide dans sa jeunesse aimerait qu’il donne une série de concerts au piano à ses côtés à l’Auditorium de Lyon. Mais  la rencontre avec son double, un enfant qui lui ressemble comme deux gouttes d’eau, plonge Mathias dans un trouble qui menace de le faire sombrer… et qui le mènera à Claude : son amour de jeunesse.

Pour son 14e long-métrage, le réalisateur de Trois souvenirs de ma jeunesse et Roubaix, une lumière, a choisi un alléchant casting : François Civil, Nadia Tereszkiewicz, Charlotte Rampling et Hippolyte Girardot. 

Avant-première et rencontre avec le réalisateur Arnaud Desplechin.

26/09/2025

Bande annonce

Les séances : Vous pouvez Acheter vos places en ligne

Du Mercredi 15 Octobre 2025 au Mardi 21 Octobre 2025

Du Mercredi 22 Octobre 2025 au Mercredi 29 Octobre 2025

Définition des pictos :


  • Séance 3D
  • Ciné Relax
  • Version française
  • V.O + Sous-titrage (FR)
  • Sans Paroles
  • Audio description

Votre avis

    Commentaire de Xavier Blanchard |

    Film déroutant dont, même si l'on a lu le synopsis, on ne sait pas où il va nous mener, tant il aborde des thèmes et des approches différentes : il oppose l'engament amoureux et affectif à celui, quasi sacerdotal, des grands musiciens internationaux ; il nous confronte à des "hasards" mystérieux, fantastiques1 (un petit peu de Gogol ?) ; il nous plonge enfin dans les doutes de la fidélité en amour et en amitiés et de la responsabilité parentale.
    Deux trajectoires artistiques se croisent, celle d'Elena qui doit accepter la baisse de ses capacités et quitter sans doute la "grande scène", celle de Mathias qui a quitté son refuge japonais pour, peut-être, recourir les scènes du monde...
    Les interventions de Max, l'agent de Mathias (Hippolyte Girardot, parfait), sont de parfaits contre-points des récits -on penserait presque à la petite coccinelle des bas de palanche de Gotlib, ou plus "sérieusement" à un ange gardien, voire à un ange un peu tentateur...
    Arnaud Desplechin choisit que la famille de Pierre soit israélite. Ceci n'a pas d'effet significatif sur le scénario, mais m'apparaît, en ces temps où la judaïté est peut-être plus difficile à porter, comme une jolie occasion d'affirmer qu'elle fait bien partie, sans ambiguïté, de notre paysage.
    NB. La première affiche choisie par le distributeur représentait C. Rampling, qui incarne -superbement- l'exigence de travail et de concentration, l'engagement demandés à un "grand musicien". La seconde, choisie semble-t-il en définitive en remplacement de la première an, montrant un baiser de Claude et de Mathias divulgache bizarrement le film...

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