Des hommes

Des hommes

de Lucas Belvaux

Avec
Gérard Depardieu
Catherine Frot
Jean-Pierre Darroussin

Genre : Drame,

Nationalité : France

Année de sortie : 2020

Durée : 01h41

Version : Couleur

Public : Tout public

Appelés en Algérie en 60, Rabut et Bernard sont rentrés et se sont tus leur vie durant. Bernard est devenu alcoolique et raciste. Le jour de l’anniversaire de sa sœur il déboule dans la fête de village…

Adapté du bouleversant roman de Mauvignier, ce 11e film tente de raconter les souffrances déclenchées par cette guerre. « Il y a eu évidemment les souffrances du peuple algérien qui ont été très longues mais celle des appelés a été extrêmement profonde aussi, la souffrance des harkis, la souffrance des pieds-noirs, avec énormément d'injustice dans tous les sens et de non reconnaissance. On en subit les séquelles encore aujourd'hui ». S’appuyant sur le trio Depardieu-Frot-Darroussin et de jeunes acteurs convaincants, le récit, entre regrets et amertume, ricoche sans cesse entre les époques.

Filmographie : Pour rire (96) Un couple épatantCavaleAprès la vie (trilogie de 03) – La Raison du plus faible (06) – Rapt (09) – Pas son genre (14) – Chez nous (17)

Bande annonce

Les séances : Vous pouvez Acheter vos places en ligne

Ce film a été programmé aux cinémas Studio

  • Semaine du Mercredi 11 Novembre 2020 au Mardi 17 Novembre 2020
  • Semaine du Mercredi 18 Novembre 2020 au Mardi 24 Novembre 2020
  • Semaine du Mercredi 25 Novembre 2020 au Mardi 1 Décembre 2020
  • Semaine du Mercredi 2 Juin 2021 au Mardi 8 Juin 2021
  • Semaine du Mercredi 9 Juin 2021 au Mardi 15 Juin 2021
  • Semaine du Mercredi 16 Juin 2021 au Mardi 22 Juin 2021
  • Semaine du Mercredi 23 Juin 2021 au Mardi 29 Juin 2021

Définition des pictos :


  • Séance 3D
  • Ciné Relax
  • Version française
  • V.O + Sous-titrage (FR)
  • Sans Paroles
  • Audio description

Votre avis

    Commentaire de Hervé RIGAULT |

    Des hommes
    C’est un vrai défi qu’a voulu relever Lucas Belvaux en s’attaquant à l’adaptation du texte très littéraire de Laurent Mauvignier autour du personnage de Bernard, personnage emblématique (mais pas que, surtout pas que) de cette génération masculine affectivement détruite parce qu’enrôlée dans une guerre coloniale atroce qui n’osait même pas dire son nom.
    On peut dire qu’il s’en tire avec les honneurs (pas militaires, certes). Mais, il me semble que l’on perd quand même quelque chose quand on passe de la lecture (que l’on peut interrompre, reprendre à sa guise …) à la vision du défilé des images (trop bien léchées à mon goût) accompagnées de multiples voix off qui finissent par dérouter et sur lesquelles on n’a pas de prise.

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