Casanova mène grand train dans la Cité des Doges. Choyé par les femmes, poursuivi par ses créanciers, il finit par s’attirer la foudre des maris qui conspirent pour le faire arrêter. Casanova fuit en Russie où il s’introduit à la Cour du Tsar sous l’identité d’un modiste français. Il devient un familier de la Grande Catherine mais son démon des femmes entraîne sa disgrâce et il doit fuir à nouveau pour échapper à la prison. Revenu à Venise en plein carnaval, il multiplie les aventures au milieu d’un joyeux tumulte...

Décors et costumes somptueux, intrigue aux multiples rebondissements, ce Casanova « illustre le haut degré de perfection technique et artistique atteint par le cinéma muet à la veille du passage au parlant » (Joël Daire Cinémathèque française)