Au Poste !

Au Poste !

de Quentin Dupieux

Avec
Benoît Poelvoorde
Grégoire Ludig
Marc Fraize
Anaïs Demoustier
Philippe Duquesne

Genre : Comédie

Nationalité : France

Année de sortie : 2018

Durée : 01h13

Version : Couleur

Public : Tout public

A première vue, le scénario a tout pour ennuyer le spectateur : dans un poste de police anonyme, un commissaire (Benoit Poelvoorde) interroge un suspect (Grégoire Ludig) qui a découvert un cadavre devant son immeuble !

Mais avec Quentin Dupieux, l’iconoclaste réalisateur du génial Réalité (15), on peut s’attendre à tout… et, en l’occurrence, à un film extrêmement drôle et dérangeant (notamment la logique et la chronologie) ! Un excellent moment à ne pas rater… … et dont la bande annonce donnait furieusement envie d’aller… Au Poste ! L’un des petits plaisirs de l’été 2018.

DP

 

 

Les séances : Vous pouvez Acheter vos places en ligne

Ce film a été programmé aux cinémas Studio

  • Semaine du Mercredi 4 Juillet 2018 au Mardi 10 Juillet 2018
  • Semaine du Mercredi 11 Juillet 2018 au Mardi 17 Juillet 2018
  • Semaine du Mercredi 18 Juillet 2018 au Mardi 24 Juillet 2018
  • Semaine du Mercredi 29 Août 2018 au Mardi 4 Septembre 2018
  • Semaine du Mercredi 5 Septembre 2018 au Mardi 11 Septembre 2018

Définition des pictos :


  • Séance 3D
  • Ciné Relax
  • Version française
  • V.O + Sous-titrage (FR)
  • Sans Paroles
  • Audio description

Votre avis

    Commentaire de Jacques Chenu |

    Un bon début et une fin originale, mais entre les deux ça patine pas mal, même si le côté absurde peut amuser. Le jeu des acteurs est très bon, en particulier celui de Poelvoorde toujours aussi convaincant et naturellement drôle, mais pour moi, le tout ressemble trop à du théâtre filmé.

    Commentaire de Hervé RIGAULT |

    Entre rêve et cauchemar, entre fiction et réalité ; rien n’est d’équerre dans cette courte et astucieuse comédie en trompe l’œil qui, chassant notre cafard, ne nous laisse pas sur notre faim.
    Et puisque les critiques traquent les références ou les citations, tirées des années 60 ou 70, je me risque à avancer le nom de Raymond Devos dont l’univers me semble bien s’accorder à celui de Quentin Dupieu.

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