La déesse Mari confie au Diable Mikelats et Atarrabi, ses deux fils nés d’un père mortel, pour leur éducation. Atteignant leur majorité, l’un, Mikelats, décide de rester auprès du maître, tandis que l’autre, Atarrabi, s’enfuit. Mais le Diable réussit à retenir son ombre...

Le réalisateur de La Sapienza (2015) et de La Religieuse portugaise (2009) nous propose avec Atarrabi et Mikelats un mythe basque.Y apportant un sens très personnel, E. Green a intégré notamment à l’écriture la notion de grâce, les deux frères en représentant deux conceptions différentes. E. Green, passionné par le monde baroque, livre ici un film tourné en langue basque, « magique, drôle et bouleversant ».