« You can’t wake up if you don’t fall asleep ! », accepter le sommeil pour mieux être éveillé, c’est le mot d’ordre que scandent les vrais faux comédiens et que reprend la chanson du générique final. C’est peut être aussi la clé de l’oeuvre de Wes Anderson qui joue des rapports entre la réalité (ici des ingrédients de la réalité et de l’imaginaire des USA des années 50 d’une part, la question du deuil de l’autre) et la fiction poussée jusqu’à l’onirisme (personnages stylisés, décors aseptisés, cadrages millimétrés...).
PS J’ai toujours des difficultés avec les dialogues qui défilent un peu trop vite à mon, goût.