As I Lay Dying

As I Lay Dying

de James Franco

Avec
James Franco
Tim Blake Nelson
Danny McBride
Jim Parrack

Genre : Drame

Nationalité : États-Unis

Année de sortie : 2013

Durée : 01h50

Version : Couleur

Public : Tout public

Dans une ferme décrépite du Sud des USA des années 30, Addie Bundren attend la mort pendant que sa famille prépare son cercueil… Son dernier vœu est d’être enterrée dans sa ville natale, assez loin de là… Une fois Addie morte, le plus difficile reste à faire pour cette famille qui menace sans de craquer aux coutures : transporter le cercueil dans une carriole jusqu’à la dernière demeure d’Addie. La route est difficile, pleine d’obstacles et d’embûches et les tensions familiales ne facilitent pas la chose.

 

Adapter le roman de W. Faulkner (Tandis que j’agonise), où chaque chapitre est dit par une voix différente, relevait de la gageure ; James Franco a osé relever le défi (il faut dire qu’il a également tourné une adaptation de Un enfant de Dieu, de C. McCarthy, ce qui montre bien l’ambition du réalisateur !) et, à en croire les critiques cannoises, il semblerait qu’il s’en soit sorti haut la main et nous ait livré un film sombre bien à la hauteur de cette famille Bundren, rongée de haines et de secrets.

 

 

Sources : theguardian.com, cinemateaser.com, telerama.fr

 

Les séances : Vous pouvez Acheter vos places en ligne

Ce film a été programmé aux cinémas Studio

  • Semaine du Mercredi 9 Octobre 2013 au Mardi 15 Octobre 2013
  • Semaine du Mercredi 16 Octobre 2013 au Mardi 22 Octobre 2013
  • Semaine du Mercredi 23 Octobre 2013 au Mardi 29 Octobre 2013

Définition des pictos :


  • Séance 3D
  • Ciné Relax
  • Version française
  • V.O + Sous-titrage (FR)
  • Sans Paroles
  • Audio description

Votre avis

    Commentaire de Hervé RIGAULT |

    Le problème avec les adaptations de chefs d'oeuvre littéraires à l’écran est qu'elles doivent être également des chefs d'oeuvre au risque d'être considérées comme relativement médiocres. Faute d'avoir su entretenir la dialectique entre l'expression subjective (monologues) et la présentation objective du récit qui ont fait la force du roman de Faulkner, James Franco n'a pas réussi à surmonter ce risque. Dommage.
    PS Un accent sudiste à couper au couteau qui a fait que ma famille américaine qui m'avait accompagné a du parfois avoir recours aux sous titres français pour comprendre les paroles !

    Commentaire de Hervé RIGAULT |

    Le problème avec les adaptations de chefs d'oeuvre littéraires à l’écran est qu'elles doivent être également des chefs d'oeuvre au risque d'être considérées comme relativement médiocres. Faute d'avoir su entretenir la dialectique entre l'expression subjective (monologues) et la présentation objective du récit qui ont fait la force du roman de Faulkner, James Franco n'a pas réussi à surmonter ce risque. Dommage.
    PS Un accent sudiste à couper au couteau qui a fait que ma famille américaine qui m'avait accompagné a du parfois avoir recours aux sous titres français pour comprendre les paroles !

Lire | Envoyer

Ajouter une critique

Pour donner votre avis, veuillez vous connecter :

Mot de passe oublié 

Je souhaite créer un compte

Création du compte