Ariaferma

Ariaferma

de Leonardo Di Costanzo

Avec
Toni Servillo
Silvio Orlando
Fabrizio Ferracane

Genre : Drame

Nationalité : Italie

Année de sortie : 2021

Durée : 01h57

Version : Couleur

Public : Tout public

Une prison, de nos jours, quelque part en Italie : vétuste, elle doit être démantelée et ses détenus évacués. Mais, en raison de problèmes administratifs, le transfert est suspendu. Gargiulo, le surveillant le plus expérimenté, est chargé de faire fonctionner la prison avec une équipé réduite. Lagioia, incarcéré pour une longue peine, voit dans cette parenthèse l’opportunité de faire entendre certaines revendications. Prisonniers et gardiens vont peu à peu élaborer une communauté inédite…

Retrouvez des ouvrages sur des thématiques similaires au film ci-dessus, dans votre bibliothèque des cinémas Studio.

Auteur : Laurence Schifano, édité par Nathan université - 1995, à la cote M 791.439.45 SCH

Retrouvez les actualités de la bibliothèque des cinémas Studio sur le compte Facebook et le blog.

Bande annonce

Les séances : Vous pouvez Acheter vos places en ligne

Ce film a été programmé aux cinémas Studio

  • Semaine du Mercredi 16 Novembre 2022 au Mardi 22 Novembre 2022
  • Semaine du Mercredi 23 Novembre 2022 au Mardi 29 Novembre 2022

Définition des pictos :


  • Séance 3D
  • Ciné Relax
  • Version française
  • V.O + Sous-titrage (FR)
  • Sans Paroles
  • Audio description

Votre avis

    Commentaire de Hervé RIGAULT |

    Tout au long de cette fable théâtrale, Leonardo Di Costanzo joue de manière efficace avec la tension qui règne entre les deux blocs en présence (mais aussi à l’intérieur de ces deux blocs humains). C’est une sorte de fragile cessez le feu qui règne dans cette prison sarde à l’abandon et qui est sans cesse menacé par des événements savamment distillés en cascade au fil du scénario accompagnés de chants magnifiques mais un peu plombants.
    Le film, au risque de tomber dans les bons sentiments, vaut aussi par la progression de certains des personnages assez complexes comme celle de Gargiulo le chef des gardiens qui ne pourra plus dire « nous n’avons rien en commun » face à Lagioia son alter égo, plus lucide, du côté des détenus . Il y a aussi quelque chose qui ressemble à de la rédemption dans l’évolution du personnage de Fantacini, le jeune criminel travaillé par le remords.

Lire | Envoyer

Ajouter une critique

Pour donner votre avis, veuillez vous connecter :

Mot de passe oublié 

Je souhaite créer un compte

Création du compte