Sunset

Sunset

de László Nemes

Avec
Juli Jakab
Vlad Ivanov
Evelin Dobos
Marcin Czarnik
Judit Bárdos

Genre : Drame

Nationalité : Hongrie

Année de sortie : 2018

Durée : 02h21

Version : Couleur

Public : Tout public

1913. Après une enfance passée en orphelinat, Irisz Leiter revient à Budapest. Alors qu’elle rêve de travailler dans le magasin de chapeaux tenu autrefois par sa famille, son espoir est brisé par Oszkar Brill, le nouveau propriétaire. Apprenant qu’elle a un frère, elle va à la recherche des mystères de son passé. Cette quête de racines familiales risque d’entraîner Irisz dans les méandres d’un monde au bord du chaos.

László Nemes, après Le Fils de Saul (2015), bouleversant, nous emmène avec Sunset au cœur même de l’empire austro-hongrois à la veille de la guerre. Le film a reçu le Prix Fipresci à la Mostra de Venise. Prometteur.

Bande annonce

Les séances : Vous pouvez Acheter vos places en ligne

Ce film a été programmé aux cinémas Studio

  • Semaine du Mercredi 20 Mars 2019 au Mardi 26 Mars 2019
  • Semaine du Mercredi 27 Mars 2019 au Mardi 2 Avril 2019

Définition des pictos :


  • Séance 3D
  • Ciné Relax
  • Version française
  • V.O + Sous-titrage (FR)
  • Sans Paroles
  • Audio description

Votre avis

    Commentaire de Jean-Pierre Lautman |

    Hormis les dix premières minutes, ce film est abscons, assommant, nébuleux, monotone et monocorde. Plus de deux heures à découvrir la nuque du personnage principal, c'est assez fastidieux.

    Commentaire de Jacques Chenu |

    Titre crépusculaire, film crépusculaire, métaphore d’une société corrompue en pleine décomposition, c’est la fin de l’empire d’Autriche-Hongrie juste avant le début de la première guerre mondiale.
    L’histoire est vue uniquement du point de vue du personnage central, une jeune femme orpheline à Budapest, à la recherche de ses racines. J’ai eu beaucoup de mal à suivre les aventures d’Irisz Leiter à la recherche de ces « fantômes du chapelier », ses parents modistes étant morts tragiquement quand elle avait deux ans. Son visage n’exprime rien, ni joie, ni peine, elle reste impavide en toutes circonstances. Le récit est très confus, Irisz parle peu, il est difficile de comprendre ses motivations et les rapports entre les personnages secondaires. Tout est mystérieux, étrange, obscur et énigmatique.
    La mise en scène recherche l’originalité à tout prix : Irisz est presque constamment cadrée en plan épaules, de dos, et on la suit en caméra portée, un peu comme dans la première séquence de « Rosetta ». Des couleurs chaudes, des scènes peu éclairées, en lumière naturelle, et une musique lancinante, contribuent à créer une atmosphère anxiogène.
    C’est un film déroutant, éprouvant, hermétique, mais qui peut être perçu comme envoutant si on accepte de ne pas tout comprendre.

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