Oh Lucy!

Oh Lucy!

de Atsuko Hirayanagi

Avec
Shinobu Terajima
Josh Hartnett
Koji Yakusho
Shioli Kutsuna
Megan Mullally

Genre : Comédie Dramatique

Nationalité : Japon

Année de sortie : 2018

Durée : 01h35

Version : Couleur

Public : Tout public

Depuis des années Setsuko n'attend plus rien de la vie : dans la sphère privée comme dans le domaine professionnel, tout coule, sans heurts mais aussi sans saveur, jusqu'à ce que sa nièce, Mika, la persuade de prendre sa place à des cours d'anglais, très particuliers. Cette expérience va servir de révélateur à Setsuko : coiffée d'une perruque blonde, elle va se muer en Lucy ; une Lucy qui va tomber amoureuse de son jeune professeur ! Alors quand celui-ci disparaît en compagnie de Mika, Setsuko-Lucy se lance, en compagnie de sa sœur, sur les traces des fugitifs. Ce premier film dresse le portrait d'une femme comme il y en a rarement sur les écrans, mais bien plus dans la vraie vie : une femme entre deux âges, ni belle ni laide, mais qui, un jour, décide de ne plus subir sa vie mais de la vivre pleinement, en faisant fi des conventions !

 

Mais, surtout, c'est un formidable film d'équilibriste qui oscille entre deux pôles en permanence : en vrai sens comique (voir burlesque ou loufoque par moments) et des instants de drame saisissants.

 

Voici donc une très belle découverte! ER

 

 

Bande annonce

Les séances : Vous pouvez Acheter vos places en ligne

Ce film a été programmé aux cinémas Studio

  • Semaine du Mercredi 7 Février 2018 au Mardi 13 Février 2018
  • Semaine du Mercredi 14 Février 2018 au Mardi 20 Février 2018

Définition des pictos :


  • Séance 3D
  • Ciné Relax
  • Version française
  • V.O + Sous-titrage (FR)
  • Sans Paroles
  • Audio description

Votre avis

    Commentaire de Jacques Chenu |

    Setsuko est triste et solitaire, elle s’ennuie dans sa vie toute grise, mais grâce à sa nièce survoltée, elle va découvrir les « feux de l’amour ». Ce qui est amusant et intéressant dans ce film, c’est la confrontation de deux mondes, la retenue, la discrétion, la pudeur, le contrôle de soi japonais, opposés au côté démonstratif extraverti du californien standard. Et finalement on se rend compte que l’hypocrisie et la jalousie sont les mêmes partout. Tout ça n’est pas très original, mais c’est parfois drôle et plutôt sensible.

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