Les Mauvaises herbes

Les Mauvaises herbes

de Louis Belanger

Avec
Alexis Martin
Gilles Renaud
Luc Picard
Bénédicte Décary

Genre : Comédie

Nationalité : Québec

Année de sortie : 2017

Durée : 01h45

Version : Couleur

Public : Tout public

Acculé par ses dettes et son impossibilité de rembourser Patenaude, implacable usurier, Jacques décide de quitter sans plus attendre Montréal. Sa fuite l'entraîne jusque sur les terres reculées de Simon qui n'en demandait pas tant. C'est que Simon c'est plutôt le genre solitaire, surtout préoccupé par sa production de cannabis (pot en québécois). Si cette intrusion va quelque peu perturber son quotidien, Simon prend conscience que le nouveau venu peut lui permettre d'augmenter la rentabilité de sa petite entreprise, tandis que Jacques pense trouver ainsi un moyen de rembourser ses dettes. Mais ce nouvel équilibre se trouve de nouveau perturbé quand Francesca apparaît pour relever le compteur électrique, et qu'un peu plus tard Patenaude surgit : la récolte ne va pas être simple ! Cette comédie est une ode aux amitiés improbables !

Sources : dossier de presse, filmsquebec.com

Filmographie sélective : Post mortem (1999), Gaz Bar Blues (2003), Route 132 (2010)

Bande annonce

Les séances : Vous pouvez Acheter vos places en ligne

Ce film a été programmé aux cinémas Studio

  • Semaine du Mercredi 5 Avril 2017 au Mardi 11 Avril 2017
  • Semaine du Mercredi 12 Avril 2017 au Mardi 18 Avril 2017
  • Semaine du Mercredi 19 Avril 2017 au Mardi 25 Avril 2017

Définition des pictos :


  • Séance 3D
  • Ciné Relax
  • Version française
  • V.O + Sous-titrage (FR)
  • Sans Paroles
  • Audio description

Votre avis

    Commentaire de Jacques Chenu |

    Les mauvaises herbes, c’est comme les enfants, ça pousse malgré nous, pas comme on voudrait ni où on voudrait… Il est beaucoup question de conflit de générations dans cette comédie québécoise, on y parle aussi « herboriculture », théâtre et addictions. C’est enlevé et drôle, mais je dois avouer que dès que j’entends la langue fleurie et désuète des Québécois, j’ai envie de rire, tant c’est inventif, imagé et cocasse. Et ma petite cerise sur ce gâteau glacé canadien, ce sont les références à Shakespeare, le Shylock du Marchand de Venise et surtout la tirade de Jaques (sans c) le morose cynique de « As you like it » (Comme il vous plaira) sur notre monde comparé à une scène sur laquelle chacun fait son petit tour et puis disparaît à jamais (voir notre scène politique en ces temps troublés…).

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