L'Art de la fugue

L'Art de la fugue

de Brice Cauvin

Avec
Laurent Lafitte
Agnès Jaoui
Benjamin Biolay
Nicolas Bedos
Marie-Christine Barrault

Genre : Comédie Dramatique

Nationalité : France

Année de sortie : 2015

Durée : 01h40

Version : Couleur

Public : Tout public

Antoine a le sentiment que le couple qu'il forme avec Adar depuis des années ne fonctionne plus que dans la routine, d'autant qu'il vient de faire la rencontre d'Alexis qui fait plus que le troubler. Et ce n'est pas auprès de ses parents, ingérables, et ses deux frères, en pleine bourrasque sentimentale, qu'il peut trouver du réconfort. Et comme même dans son travail, ce n'est pas l'enthousiasme non plus, il est partagé entre la saturation et l'impuissance . Le bouleversement (espéré) va, contre toute attente, venir, non pas de l'extérieur, mais d'Ariel, l'amie de toujours… Cette comédie dramatique, adaptée du roman de Stephen McCauley, est le second long métrage de Brice Cauvin, après De particulier à particulier. Outre des premiers rôles réjouissants, le film nous permettra de retrouver les rares Marie-Christine Barrault, Guy Marchand et Bruno Putzulu.

Sources : dossier de presse , telerama.fr

Les séances : Vous pouvez Acheter vos places en ligne

Ce film a été programmé aux cinémas Studio

  • Semaine du Mercredi 4 Mars 2015 au Mardi 10 Mars 2015
  • Semaine du Mercredi 11 Mars 2015 au Mardi 17 Mars 2015
  • Semaine du Mercredi 18 Mars 2015 au Mardi 24 Mars 2015

Définition des pictos :


  • Séance 3D
  • Ciné Relax
  • Version française
  • V.O + Sous-titrage (FR)
  • Sans Paroles
  • Audio description

Votre avis

    Commentaire de Jacques Chenu |

    Encouragé par une bande-annonce qui m’avait paru amusante, avec plein de bons acteurs sympathiques et quelques bribes de critiques élogieuses, je suis allé voir cet Art de la Fugue.
    J’attendais de la légèreté, des surprises, de l’humour… Je n’ai perçu que de la lourdeur et des scènes convenues. Il y avait pourtant des rires dans la salle, ils n’étaient pour moi que des gloussements. Que de subjectivité dans l’appréhension d’une œuvre ! J’ai du mal à comprendre pourquoi certains spectateurs ont vu de la finesse, de la subtilité quand je n’ai vu que des gros sabots. Je me serais volontiers laissé aller à dodeliner, mais, même pas fatigué, je me suis contenté de m’ennuyer. Dommage…

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