L'Ange blessé

L'Ange blessé - Ranenyy Angel

de Emir Baigazin

Avec
Nurlybek Saktaganov
Madiar Aripbai
Madiar Nazarov
Omar Adilov
Anzara Barlykova

Genre : Drame

Nationalité : Kazakhstan

Année de sortie : 2016

Durée : 01h52

Version : Couleur

Public : Tout public

Deuxième volet d’un triptyque dont le premier, Leçons d’harmonie, fut très remarqué à sa sortie, le film raconte en fait quatre histoires d’« anges blessés ». Celle de Jaras, qui doit nourrir sa famille. Devra-t-il devenir voleur, comme son père qui, sortant de prison, ne trouve pas de travail ? Celle de Balapan, dont la vocation est de devenir chanteur mais qui doit subir les humiliations quotidiennes des petites frappes de son école. Quant à Aslan, il veut devenir médecin mais est confronté à de graves problèmes lorsque sa petite amie se retrouve enceinte. Zhaba, lui, fouille ruines et égouts à la recherche de métaux à revendre et tombe sur trois illuminés qui lui parlent d’un trésor caché.

 

Quatre destins d’adolescents, quatre contes moraux qui disent la difficulté à construire sa vie, au risque de s’y perdre.

 

Sources : dossier de presse

Bande annonce

Les séances : Vous pouvez Acheter vos places en ligne

Ce film a été programmé aux cinémas Studio

  • Semaine du Mercredi 15 Juin 2016 au Mardi 21 Juin 2016

Définition des pictos :


  • Séance 3D
  • Ciné Relax
  • Version française
  • V.O + Sous-titrage (FR)
  • Sans Paroles
  • Audio description

Votre avis

    Commentaire de Catherine FELIX |

    Un film venu de l'Est, du Kazakhstan... Quatre histoires entrecoupées de cartons picturaux qui donne du sens à l'histoire, a posteriori et c'est tant mieux. Ce n'est pas un film facile même s'il a été sans doute tourné avec peu de moyens. Quatre garçons, quatre anges blessés dans un pays lui aussi livré à la ruine. Beauté des images, des couleurs, des cadrages, notamment dans la 3° histoire qui fait penser au réalisme magique cher aux romanciers sud-américains... Réalisme symbolique pour raconter l'histoire de ces quatre garçons tous différents mais murés dans la même solitude, face à une vie sans espoir, filmés à plusieurs reprises à côté d'encadrements de fenêtres donnant sur un paysage vide ou devant un miroir avant que le courant ne plonge la pièce dans l'obscurité, et rassemblés à la fin dans une salle vide le regard fixé sur le garçon qui chante l'Ave Maria. Un film impressionnant autant par le fond que par la forme !

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