La Passion d'Augustine
de Léa Pool
Genre : Drame
Nationalité : Canada
Année de sortie : 2016
Durée : 01h43
Version : Couleur
Public : Tout public
Simone Beaulieu dirige avec passion, sous le nom de Mère Augustine, un petit couvent québecois dont l’activité principale, avant même la prière, est l’enseignement et la pratique de la musique. Sa réputation s’accroît encore à chaque prix remporté dans les concours de la région. À la demande de sa sœur, Mère Augustine recueille Alice, sa nièce, jeune prodige de piano dont l’anticonformisme lui rappelle sa propre jeunesse. Mais nous sommes en 1962, le concile Vatican II et la nouvelle politique du gouvernement québecois menacent l’existence même de toutes les institutions religieuses. Comment réagir ?
Peu de critiques mais très positives. Le film a collectionné les prix à Cannes, Angoulême, La Rochelle, La Baule.
Bande annonce
Les séances : Vous pouvez Acheter vos places en ligne
Ce film a été programmé aux cinémas Studio
- Semaine du Mercredi 27 Avril 2016 au Mardi 3 Mai 2016
- Semaine du Mercredi 4 Mai 2016 au Mardi 10 Mai 2016
Définition des pictos :
- Séance 3D
- Ciné Relax
- Version française
- V.O + Sous-titrage (FR)
- Sans Paroles
- Audio description
Votre avis
Commentaire de Catherine FELIX |
Voilà un film qui pourrait bien faire pleurer dans les chaumières ! Tous les ingrédients sont là : une religieuse qui défend l'excellence de son couvent où l'on enseigne la musique, sa nièce rebelle qui lui rappelle l'adolescente qu'elle a été, le poids de l'histoire avec Vatican 2... Le film est très classique dans le fond et la forme, bien maladroit dans les scènes qui évoquent le passé mais bon on peut verser une larme malgré soi, ce que j'ai fait d'ailleurs ! On pourrait dire de ce film qu'il s'agit des "Choristes" québécois. Mais pour la peinture du milieu conventuel, rien à voir avec "Les Innocentes" d'Anne Fontaine ! Certes le sujet est moins grave mais tout est convenu et bien édulcoré !
Commentaire de CP |
Une reconstitution tout en justesse du Québec des années 60 et un portrait attachant d'une communauté religieuse qui se pose les questions de sa pérennité dans le courant des révolutions sociales du moment.
De la première partie du film se dégage une force, même une sorte de félicité, à travers la vie réglée du couvent, la lumière sur la nature, et bien sûr les répétitions de chant choral et les compositions pour piano.
La dernière partie se veut plus conventionnelle avec des rebondissements dramatiques.
A noter une très belle scène quand les religieuses changent de style vestimentaire.
Une dose de légéreté qui malheureusement pour moi a gâché quelques moments de ce film: 3 dames devant moi ont ri à gorge déployée...
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