Jamais de la vie

Jamais de la vie

de Pierre Jolivet

Avec
Olivier Gourmet
Valérie Bonneton
Bénabar
Julie Ferrier
Marc Zinga

Genre : Thriller

Nationalité : France

Année de sortie : 2015

Durée : 01h35

Version : Couleur

Public : Tout public

Franck est gardien de nuit dans un centre commercial de banlieue. 10 ans auparavant, il était ouvrier spécialisé et délégué syndical, toujours prêt au combat. Aujourd’hui, spectateur résigné de sa vie solitaire et sans issu, il s’ennuie à longueur de nuit. Lors d’une ronde, il aperçoit un 4x4 qui rôde et sent que quelque chose se prépare... La curiosité le sort de son indifférence : peut-être la dernière  occasion pour lui de reprendre sa vie en main.

Pour son 15e long métrage, Pierre Jolivet a choisi un registre plus douloureux qui, au fil du récit, prend le rythme, la noirceur, la désespérance d’un authentique polar. Et il trouve dans Olivier Gourmet un acteur exceptionnel, capable de donner la complexité et la grandeur de ce personnage dépassé qui finit par devenir une sorte de héros. Un grand film noir à ne pas manquer !

DP

Filmographie sélective : Le Complexe du kangourou (86) – Force majeure (89) – Fred (93) – Ma petite entreprise (99) – La très très grand entreprise (08) – Mains armées (12)

Bande annonce

Les séances : Vous pouvez Acheter vos places en ligne

Ce film a été programmé aux cinémas Studio

  • Semaine du Mercredi 8 Avril 2015 au Mardi 14 Avril 2015
  • Semaine du Mercredi 15 Avril 2015 au Mardi 21 Avril 2015
  • Semaine du Mercredi 22 Avril 2015 au Mardi 28 Avril 2015

Définition des pictos :


  • Séance 3D
  • Ciné Relax
  • Version française
  • V.O + Sous-titrage (FR)
  • Sans Paroles
  • Audio description

Votre avis

    Commentaire de Hervé RIGAULT |

    Un film dont le cadre (super marché, ZUP), l'intrigue ( braquage avec complicités intérieures) et même le travail des personnages (vigile, gardien de nuit) ne sont pas sans rappeler le « Qui vive » de Marianne Tardieu avec Reda Kateb, vu en fin 2014. Diffèrent quand même les trajectoires des personnages. Celui interprété par Gourmet ancien syndicaliste apparaît usé, en fin de course, écrasé par la désindustrialisation quand celui interprété par Reda Kateb (peut être futur syndicaliste ?) semblait, au contraire, entamer sa vie et devoir ne pas tarder à oublier ses débuts difficiles.
    Peut on se plaindre que le cinéma français traite enfin, avec une certaine crédibilité, des réalités sociales que vit la majorité de la population ?

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