Divines

Divines

de Houda Benyamina

Avec
Oulaya Amamra
Déborah Lukumuena
Jisca Kalvanda
Kevin Mischel
Majdouline Idrissi

Genre : Drame

Nationalité : France

Année de sortie : 2016

Durée : 01h45

Version : Couleur

Public : Tout public

Dans un ghetto où se côtoient trafics et religion, Dounia a soif de pouvoir et de réussite. Soutenue par Maimouna, sa meilleure amie, elle décide de suivre les traces de Rebecca, une dealeuse respectée. Sa rencontre avec Djigui, un jeune danseur troublant de sensualité, va bouleverser son quotidien.

Divines de Houda Benyamina, récompensé par la Caméra d'or du Festival de Cannes 2016, sera projeté en exclusivité le mercredi 8 juin, à 20h45

Cette avant-première se déroulera en présence des 2 comédiennes principales, Oulaya Amamra, Deborah Lukumuena, et du producteur du film. 

Bande annonce

Les séances : Vous pouvez Acheter vos places en ligne

Ce film a été programmé aux cinémas Studio

  • Semaine du Mercredi 8 Juin 2016 au Mardi 14 Juin 2016
  • Semaine du Mercredi 31 Août 2016 au Mardi 6 Septembre 2016
  • Semaine du Mercredi 7 Septembre 2016 au Mardi 13 Septembre 2016
  • Semaine du Mercredi 14 Septembre 2016 au Mardi 20 Septembre 2016
  • Semaine du Mercredi 21 Septembre 2016 au Mardi 27 Septembre 2016

Définition des pictos :


  • Séance 3D
  • Ciné Relax
  • Version française
  • V.O + Sous-titrage (FR)
  • Sans Paroles
  • Audio description

Votre avis

    Commentaire de Jacques Chenu |

    Quel tourbillon ! Il faut s’accrocher pour suivre les deux jeunes héroïnes du film, Dounia et Maimounia. Tout l’intérêt de ce film repose d’ailleurs sur ces deux personnages et sur la performance extraordinaire des deux actrices non professionnelles, Oulaya Amamra et Déborah Lukumuena. J’ai beaucoup aimé également le mélange de scènes violentes de la banlieue avec les séquences de danse. Cette mise en scène chorégraphiée permet au spectateur de respirer tout en admirant le parallèle et le contraste entre la violence mimée, tout en retenue, des danseurs et la violence réelle, explosive, à laquelle ces jeunes banlieusardes sont exposées et confrontées dans leur vie quotidienne. Pour une fois, j’ai même tout particulièrement apprécié l’accompagnement musical du film composé lui aussi d’un mélange de genres, rap et musique classique, particulièrement adapté au sujet. Comme disait Godard, cité dans un article de Télérama, « il ne faut pas faire du cinéma politique, il faut faire politiquement du cinéma » tant il est vrai que la force politique de ce film est finalement plus grande que celle d’un film engagé. Tout n’est pas parfait cependant, je n’ai pas été convaincu par exemple, par les scènes de rêve des adolescentes, trop niaises et trop longues. De même j’ai regretté de voir les personnages féminins imiter les codes des garçons en se comportant de manière aussi agressive et stupide qu’eux. Noir c’est noir, il n’y a pas d’espoir…

    Commentaire de Hervé RIGAULT |

    Des plans réussis, des interprètes bourrés d’énergie. Mais, à qui ce film s’adresse t il ? Le sentiment désagréable que l’on cherche à épater le bourgeois.

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